24 Heures pour Mourir
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Re: 24 Heures pour Mourir
Ah oui la suite c'est vrai x)
« Je hais ces machins-là…râla Luke
-De quoi ?
-Ben, ces sinus, cosinus et tout le tralala ! Est-ce qu’un jour, quand un flic voudra me coller une contravention, ça m’aidera si je luis sors « Vous saviez qu’une racine carrée d’un réel positif est le nombre dont ce carré est ce réel ? » J’en doute fort. »
Evangeline éclata de rire, et Luke la regarda quelques secondes, consterné, avant de pouffer à son tour.
Au bout de quelques minutes, il referma son cahier d’un geste sec.
« Fini ! déclara-t-il
-Mais pas du tout ! Attends…Il reste les exercices a, b et c page 89, les exercices e, g et j page 150 et les exercices a, f et h page 169. »
Luke blêmit, avant de ranger le cahier dans son sac.
« Pas grave. J’aurais juste une retenue. Ca me prendra moins de tout que pour faire tout ça.
-Fin tacticien, commenta Evangeline d’un air suspicieux. Bon, on va manger ? »
Luke se tourna vers elle, un sourcil levé dans une moue désabusée.
« Madame n’est pas chez elle, et elle ose demander les vivres de la maison ? »
Evangeline baissa la tête, un petit sourire amusé sur les lèvres.
« Je t’ai aidé pour tes math, je me réserve le droit de te demander le miam-miam !
-Le miam-miam ?
-Oui ! »
Luke se leva, sortit de la chambre et disparu quelques secondes avant de reparaître.
« Non, tu sais quoi ? Tu as faim, tu vas chercher. »
Evangeline le regarda de ses yeux implorants.
« Non, s’il te plaît ! Va les chercher toi-même ! »
En guise de toute réponse, Luke retourna s’asseoir et fixa la jeune fille de ses yeux gris pétillants de malice. Ils restèrent ainsi plusieurs secondes à se regarder, les yeux dans les yeux, attendant que l’un ou l’autre se décide à y aller. N’y tenant plus, Evangeline finit par se lever et envoya un coup de poing dans l’épaule de son ami.
« Va mourir, pauvre idiot ! »
Elle sortit de la pièce sous le rire moquer de Luke, descendit les escaliers menant au rez-de-chaussée et ouvrit la porte du réfrigérateur de la cuisine, à la recherche de quelconques barres chocolatées. N’en trouvant pas, elle ouvrit quelques placards. Néant.
« Luke, je ne trouve pas ! »
La voix étouffée de ce dernier lui parvint du premier étage.
« Je suis sûr qu’on en a acheté hier ! Cherche ! »
Evangeline entendit un choc sourd provenant de la chambre de son ami, suivit de plusieurs bruits de pas.
« Luke ? »
N’entendant pas de réponse, elle soupira et se rendit au salon, où des sacs de courses traînaient sur le buffet.
« Luke ! Un produit périssable non mit au frigo, tu connais ?? »
Elle s’en approcha, ouvrit un des sacs plastiques et en sortit deux Twix. Elle remonta à l’étage.
« T’aurais pu me prévenir qu’elles n’étaient pas… »
« Je hais ces machins-là…râla Luke
-De quoi ?
-Ben, ces sinus, cosinus et tout le tralala ! Est-ce qu’un jour, quand un flic voudra me coller une contravention, ça m’aidera si je luis sors « Vous saviez qu’une racine carrée d’un réel positif est le nombre dont ce carré est ce réel ? » J’en doute fort. »
Evangeline éclata de rire, et Luke la regarda quelques secondes, consterné, avant de pouffer à son tour.
Au bout de quelques minutes, il referma son cahier d’un geste sec.
« Fini ! déclara-t-il
-Mais pas du tout ! Attends…Il reste les exercices a, b et c page 89, les exercices e, g et j page 150 et les exercices a, f et h page 169. »
Luke blêmit, avant de ranger le cahier dans son sac.
« Pas grave. J’aurais juste une retenue. Ca me prendra moins de tout que pour faire tout ça.
-Fin tacticien, commenta Evangeline d’un air suspicieux. Bon, on va manger ? »
Luke se tourna vers elle, un sourcil levé dans une moue désabusée.
« Madame n’est pas chez elle, et elle ose demander les vivres de la maison ? »
Evangeline baissa la tête, un petit sourire amusé sur les lèvres.
« Je t’ai aidé pour tes math, je me réserve le droit de te demander le miam-miam !
-Le miam-miam ?
-Oui ! »
Luke se leva, sortit de la chambre et disparu quelques secondes avant de reparaître.
« Non, tu sais quoi ? Tu as faim, tu vas chercher. »
Evangeline le regarda de ses yeux implorants.
« Non, s’il te plaît ! Va les chercher toi-même ! »
En guise de toute réponse, Luke retourna s’asseoir et fixa la jeune fille de ses yeux gris pétillants de malice. Ils restèrent ainsi plusieurs secondes à se regarder, les yeux dans les yeux, attendant que l’un ou l’autre se décide à y aller. N’y tenant plus, Evangeline finit par se lever et envoya un coup de poing dans l’épaule de son ami.
« Va mourir, pauvre idiot ! »
Elle sortit de la pièce sous le rire moquer de Luke, descendit les escaliers menant au rez-de-chaussée et ouvrit la porte du réfrigérateur de la cuisine, à la recherche de quelconques barres chocolatées. N’en trouvant pas, elle ouvrit quelques placards. Néant.
« Luke, je ne trouve pas ! »
La voix étouffée de ce dernier lui parvint du premier étage.
« Je suis sûr qu’on en a acheté hier ! Cherche ! »
Evangeline entendit un choc sourd provenant de la chambre de son ami, suivit de plusieurs bruits de pas.
« Luke ? »
N’entendant pas de réponse, elle soupira et se rendit au salon, où des sacs de courses traînaient sur le buffet.
« Luke ! Un produit périssable non mit au frigo, tu connais ?? »
Elle s’en approcha, ouvrit un des sacs plastiques et en sortit deux Twix. Elle remonta à l’étage.
« T’aurais pu me prévenir qu’elles n’étaient pas… »
Re: 24 Heures pour Mourir
J'aime (:
J'ai hâte de lire la suite,parce qu'il y a trop de suspens là ! On a vite envie de savoir ce qui va se passer :p
J'ai hâte de lire la suite,parce qu'il y a trop de suspens là ! On a vite envie de savoir ce qui va se passer :p
Invité- Invité
Re: 24 Heures pour Mourir
April, May & June a écrit:Ben rien que pour vous embêter, je vais attendre un peu x)
Nooooooon ! >'<
Invité- Invité
Re: 24 Heures pour Mourir
La voila, la suite^^
La fin de sa phrase se perdit au fond de sa gorge quand elle aperçut le mur opposé de la pièce. Une énorme horloge en chiffres romains y avait été grossièrement dessinée au feutre noir. Les aiguilles indiquaient 16h00, tout comme le cadran digital du réveil. Les aiguilles indiquaient 16h00, même heure que le cadran digital du réveil. La jeune fille se tourna vers Luke.
« Qu’est-ce que c’est que cette chose ? »
Pour toute réponse, une feuille de papier froissée lui fut lancée nonchalamment. Elle la déplia et lu à voix haute :
« Trouvez le lieu habité de votre ennemi. Gravez la montre contre laquelle il fera la course qu’il sera condamné à perdre. C’est la recette du livre ! Mais pour l’amour de Dieu, qu’as-tu fait ? »
Evangeline se précipita hors de la chambre, fila à la salle de bain et trempa un mouchoir dans l’eau avant de revenir dans la pièce en courant et de frotter le XII à grandes eaux.
« Ca ne part pas ! »
Elle continua à frotter chaque chiffre un à un, frénétiquement, espérant que l’un ou l’autre se décide à disparaître. Luke la prit par les épaules.
« Tu perds ton temps, c’est de l’indélébile. D’une bonne marque. »
Devant l’air effaré de son amie, il cru bon d’ajouter :
« De toute façon, on avait prévu de repeindre ma chambre, la semaine prochaine. Je ne vivrai pas toute ma vie avec ce truc ignoble.
-Mais t’es malade ? Tu vas mourir ! »
Son ami l’agrippa un peu plus fort et la secoua légèrement.
« Ecoute : il n’y a pas de magie noire. Répète.
-Il n’y a pas de…magie noire… ?
-Bien ! »
Il lâcha les épaules d’Evangeline, qui marcha à pas lents vers le lit avant de s’y asseoir mollement.
« Je t’avais dit de le faire sur un animal, lui reprocha-t-elle d’une voix éteinte. »
Elle ouvrit mécaniquement l’emballage d’un chocolat, mordit dedans et le mâcha lentement. Luke s’assit à côté d’elle et entama le deuxième bâtonnet.
« Tu sais, je n’avais pas envie de me balader des heures dans la rue, à la recherche d’un carton dans lequel aurait pu vivre un chat errant ! J’ai d’autres choses à faire.
-Comme des maths, par exemple ? »
Evangeline leva vers lui des yeux baignés de larmes. Elle avait mit tout le reproche possible dans sa voix et ses nerfs avaient finit par craquer. Luke la prit dans ses bras.
« C’est ridicule, voyons… »
La jeune fille enfuit son visage dans le torse de son ami et murmura :
« Je ne veux pas que tu meures…
-Tu es bête ou quoi ? Je ne mourrai pas, ajouta Luke sur le même ton. Ce n’est qu’un jeu. La magie n’existe pas, et demain, tout sera terminé. »
Il tendit un mouchoir à Evangeline avant de lui proposer de la raccompagner chez elle.
De tout le chemin, ils ne dirent mot. L’ambiance était lourde, et quand ils arrivèrent chez la jeune fille, elle rentra dans l’imposante demeure et referma la porte sans émettre un son de plus.
Luke resta quelques secondes interdit, surpris que son amie ne lui ait pas fait la bise, comme elle le faisait d’habitude.
Il recula de quelques pas, les yeux dirigés sur la fenêtre de la chambre de l’adolescente dans l’espoir d’apercevoir un signe de la main, un salut quelconque.
Soudain, ses jambes se dérobèrent et il bascula en arrière avec un cri de surprise. Voulant amortir sa chute en s’appuyant sur sa main, il la tendit dans son dos. Un craquement sinistre se fit entendre et il s’écroula sur le sol avec un hurlement de douleur.
La fin de sa phrase se perdit au fond de sa gorge quand elle aperçut le mur opposé de la pièce. Une énorme horloge en chiffres romains y avait été grossièrement dessinée au feutre noir. Les aiguilles indiquaient 16h00, tout comme le cadran digital du réveil. Les aiguilles indiquaient 16h00, même heure que le cadran digital du réveil. La jeune fille se tourna vers Luke.
« Qu’est-ce que c’est que cette chose ? »
Pour toute réponse, une feuille de papier froissée lui fut lancée nonchalamment. Elle la déplia et lu à voix haute :
« Trouvez le lieu habité de votre ennemi. Gravez la montre contre laquelle il fera la course qu’il sera condamné à perdre. C’est la recette du livre ! Mais pour l’amour de Dieu, qu’as-tu fait ? »
Evangeline se précipita hors de la chambre, fila à la salle de bain et trempa un mouchoir dans l’eau avant de revenir dans la pièce en courant et de frotter le XII à grandes eaux.
« Ca ne part pas ! »
Elle continua à frotter chaque chiffre un à un, frénétiquement, espérant que l’un ou l’autre se décide à disparaître. Luke la prit par les épaules.
« Tu perds ton temps, c’est de l’indélébile. D’une bonne marque. »
Devant l’air effaré de son amie, il cru bon d’ajouter :
« De toute façon, on avait prévu de repeindre ma chambre, la semaine prochaine. Je ne vivrai pas toute ma vie avec ce truc ignoble.
-Mais t’es malade ? Tu vas mourir ! »
Son ami l’agrippa un peu plus fort et la secoua légèrement.
« Ecoute : il n’y a pas de magie noire. Répète.
-Il n’y a pas de…magie noire… ?
-Bien ! »
Il lâcha les épaules d’Evangeline, qui marcha à pas lents vers le lit avant de s’y asseoir mollement.
« Je t’avais dit de le faire sur un animal, lui reprocha-t-elle d’une voix éteinte. »
Elle ouvrit mécaniquement l’emballage d’un chocolat, mordit dedans et le mâcha lentement. Luke s’assit à côté d’elle et entama le deuxième bâtonnet.
« Tu sais, je n’avais pas envie de me balader des heures dans la rue, à la recherche d’un carton dans lequel aurait pu vivre un chat errant ! J’ai d’autres choses à faire.
-Comme des maths, par exemple ? »
Evangeline leva vers lui des yeux baignés de larmes. Elle avait mit tout le reproche possible dans sa voix et ses nerfs avaient finit par craquer. Luke la prit dans ses bras.
« C’est ridicule, voyons… »
La jeune fille enfuit son visage dans le torse de son ami et murmura :
« Je ne veux pas que tu meures…
-Tu es bête ou quoi ? Je ne mourrai pas, ajouta Luke sur le même ton. Ce n’est qu’un jeu. La magie n’existe pas, et demain, tout sera terminé. »
Il tendit un mouchoir à Evangeline avant de lui proposer de la raccompagner chez elle.
De tout le chemin, ils ne dirent mot. L’ambiance était lourde, et quand ils arrivèrent chez la jeune fille, elle rentra dans l’imposante demeure et referma la porte sans émettre un son de plus.
Luke resta quelques secondes interdit, surpris que son amie ne lui ait pas fait la bise, comme elle le faisait d’habitude.
Il recula de quelques pas, les yeux dirigés sur la fenêtre de la chambre de l’adolescente dans l’espoir d’apercevoir un signe de la main, un salut quelconque.
Soudain, ses jambes se dérobèrent et il bascula en arrière avec un cri de surprise. Voulant amortir sa chute en s’appuyant sur sa main, il la tendit dans son dos. Un craquement sinistre se fit entendre et il s’écroula sur le sol avec un hurlement de douleur.
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